L’ingénieur industriel

Dans la vie professionnelle, la marque distinctive de l’ingénieur industriel est l’abréviation « lng. » dont il peut faire accompagner ses nom et prénom (Loi du 7 juillet 1970).
Depuis le 07/09/2007, le grade d’ingénieur industriel a été reconnu équivalent au nouveau grade de Master en Sciences de l’ingénieur industriel, nous vous conseillons donc également de faire suivre votre nom par l’abréviation « MSc » car cette particule est bien connue dans les pays anglo-saxon.
Ex : Ing. Albert Dupont MSc

La formation de l’ingénieur industriel de situe au carrefour de la conception et de la réalisation. Elle concilie une double exigence: l’une, conceptuelle, qui aborde avec rigueur les données scientifiques et l’autre, concrète, qui y décèle les applications importantes pour le développement de la société.
Elle se préoccupe de la signification des connaissances et des progrès de la théorie tout en mettant l’accent sur les applications intégrant les hautes technologies.
Elle s’adresse donc à des personnalités dont la motivation repose davantage sur une sensibilité aux aspects concrets nécessitant une haute qualification.
Le profil du diplômé correspond à des fonctions à responsabilités, à des activités de gestion, de réalisation et de production, mettant l’accent sur la transposition de travaux de recherche.
Cet enseignement de haut niveau procure de façon interactive des services à la société. Il participe, notamment, à la recherche appliquée et à la formation continuée en collaboration avec les entreprises et les autres types d’enseignement.

Les débouchés, pour un ingénieur industriel sont nombreux :

  • Les fonctions de la production (fonctions logistiques au sens large : ingénieurs de production, d’exploitation, de maintenance, de contrôle, d’études, de méthodes, d’achats, de réceptions ou de ventes, responsable qualité, coordinateurs de systèmes, chef de service, chef de département, chef de laboratoire, chef de projets, directeur technique, directeur de division, directeur général, président-directeur général, administrateur délégué) ;
  • Le développement dans les bureaux d’études ;
  • L’enseignement dans le secondaire (professeur, directeur, inspecteur), mais aussi dans les Hautes Écoles (maître assistant, chef de travaux, Directeur, Directeur Président) ;
  • La recherche soit appliquée dans les différents centres de recherche industriels, mais aussi fondamentale dans les laboratoires de recheche universitaires;
  • À l’armée, l’ingénieur industriel dispose d’une carrière complète d’officier jusqu’au niveau supérieur dans les différentes armes ;
  • Dans les administrations publiques et les parastataux, comme cadre niveau 1, l’ingénieur industriel a en effet accès aux fonctions les plus élevées.

Ex-change

Ex-Change ASBL met à la disposition d’entreprises et d’institutions des pays du Sud des experts bénévoles qui, par leur expérience professionnelle et leurs connaissances pratiques, peuvent leur apporter des conseils destinés à améliorer leur gestion, organisation ou production.

A l’heure actuelle, une équipe d’une vingtaine de personnes est active au sein de l’association Ex-Change et a pour objectif de réaliser 20 missions en 2009.

Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues.

Pour info complémentaires : www.ex-change-expertise.be (voir www.ufiib.be section Ex-Change).

Notre représentant UFIIB, Ing. Alain Marlière, MSc, AIAth, qui siège au sein du Conseil d’Administration se chargera de vous renseigner : alain.marliere@ex-change-expertise.be

L’UFIIB est membre fondateur d’Ex-Change ASBL.

Grade et titre pour les nouveaux diplômés

Suites aux inquiétudes provoquées par les modifications de grade, l’UFIIB a demandé au bureau d’avocats Hydrolex de répondre aux deux questions suivantes :

  • une personne ayant obtenu le grade de Master en sciences de l’Ingénieur Industriel ou le grade de Master en sciences de l’Ingénieur Industriel en agronomie peut-elle porter le titre d’Ingénieur Industriel et utiliser la particule « Ing. » ?
  • à partir du mois de juin 2009, un ingénieur industriel peut-il postuler à une offre d’emploi requérant un Master en sciences de l’ingénieur industriel ?
  • Le grade d’ingénieur industriel qui recouvre une formation de quatre ans divisées en deux cycles est-il équivalent à celui du master en sciences de l’ingénieur industriel qui recouvre une formation de cinq ans ?
  • Un ingénieur industriel peut-il utiliser la particule MSc

Les réponses, que vous trouverez ci-dessous sont toutes affirmatives et rassurantes mais ne sont qu’une interprétation possible des lois et décrets.

Ces questions prennent évidemment toute leur importance dans le cadre de l’emploi public.  Seul l’avenir nous dira comment réagira le SELOR.

2009-02-Connect Ing.doc

Dernière ligne droite ?

Les premiers Masters en Sciences de l’Ingénieur industriels, de plein exercice, sont sur les rails, la dernière ligne droite, la bloque, est passée et voici le temps des épreuves. Les dernières, ouf, comme le pensent la majorité de ces étudiants de 2eme Master. Hélas, cela n’est pas exact car les épreuves continuent, il faut encore et toujours clarifier la situation : sont-ils oui ou non Ingénieur industriels.

Actuellement ce titre professionnel ne leur est attribué par aucune loi ni décret. Nos démarches par l’entremise de l’UFIIB auprès d’avocats et autres instances n’ont aboutis qu’a des avis positifs mais points encore par une loi du gouvernement fédéral (qui jusqu’à présent ne veut pas légiférer). Wait and see, mais le temps presse : un vide juridique se profile à l’horizon et le marché de l’emploi va se retrouver sans nouveau Ing. francophones (il y aura les néerlandophones. Je conseillerais quand même aux nouveaux diplômés, au vu de la réponse de l’avocat et de la ministre, d’utiliser le titre d’Ing. puisqu’on retrouve le titre professionnel d’Ing. dans le complément de diplôme pour les Master). Cette année, comment vont réagir les employeurs ?

Le privé, comme à l’habitude, va se débrouiller, c’est à la personne sur base de son savoir-faire de prouver sa valeur et ses capacités donc de ce coté pas de problème.

Mais qu’en sera-t-il des carrières à l’état, à la région et à la communauté ? Comment va réagir le SELOR, les organismes tels que le SPW et autre parastataux ? Nul ne le sait à ce jour, nous restons vigilants et au départ de l’UFIIB de nombreux contacts sont en cours que nous essayons de faire couler dans la loi.

Notre collègue Jean-Pierre Muret (Président de la commission de l’enseignement supérieur UFIIB) suit ce dossier avec la plus grande attention.

 

Pour rappel à nos Ingénieur industriels diplômés en titre et en grade académique cet arrêté de la communauté française et ce que nous écrivions en septembre 2007, voir ci-dessous.

 

COMMUNAUTE FRANÇAISE — FRANSE GEMEENSCHAP

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANÇAISE

[C − 2007/29215] F. 2007 — 3752

6 JUILLET 2007.—Arrêté du Gouvernement de la Communauté française fixant la liste de correspondance entre les

anciens grades et les nouveaux grades académiques délivrés par les établissements d’enseignement supérieur

de plein exercice, à l’exception des universités

Vous êtes donc à partir d’aujourd’hui, Master en Sciences de l’ingénieur industriel (grade, Bac +5) et ingénieur industriel (titre).

Position sur l’approvisionnement énergétique en Belgique

Le présent mémorandum est le résumé des propositions rédigées par le Prof. Dr. ir. William D’haeseleer, président du Comité d’accompagnement « Energieproject 75 jaar KVIV », à la demande du Conseil d’Administration de la KVIV,  et en collaboration avec les membres du Comité d’accompagnement dans le cadre de l’organisation du 3ème ‘Energy Forum’ du 16-12-2008. Cette prise de position agrée les différentes instances représentant l’ensemble des ingénieurs belges, toutes formations confondues, et représentés par le CIBIC (Comité des Ingénieurs Belges, Belgisch Ingenieurscomité) qui soutient l’enquête-énergie initiée par la KVIV dans le cadre de leur projet

La problématique de l’énergie constitue une matière complexe impliquant des interactions entre technique, (géo-) politique, écologie et économie. Elle doit donc être abordée selon une approche interdisciplinaire, la technique restant toutefois le passage obligé et un « goulet d’étranglement » dans l’approvisionnement énergétique durable. Le problème se situe moins  au niveau du risque d’un manque physique d’énergie que dans le développement et la mise en oeuvre des technologies nécessaires à un approvisionnement fiable, propre et accessible au plus grand nombre.

Pour la mise en place d’une politique énergétique solide, la KVIV, et avec elle les autres associations belges d’ingénieurs, souhaitent souligner en particulier les éléments spécifiques suivants :

1.- Le rôle des pouvoirs publics sur le marché de l’énergie

1.1 Les pouvoirs publics veillent à l’intérêt général et doivent accompagner et superviser le marché de l’énergie en ce sens. Lorsque cette action se traduit par des lois, des décrets et des arrêtés d’exécution, il convient que ceux-ci forment un tout cohérent et univoque. Une réglementation obscure, touffue et incohérente ne va dans l’intérêt de personne.

1.2 Les mesures ad hoc et les brusques changements de cap sont néfastes pour tous les acteurs économiques. Une économie et un approvisionnement énergétique solides requièrent une vision à long terme durable et cohérente.

1.3 La politique énergétique doit s’appuyer sur les résultats d’une analyse coûts-avantages globale, intégrant tous les coûts externes (tels que coûts environnementaux et coûts masqués).

1.4 Idéalement, la traduction concrète de l’analyse coûts-avantages de l’approvisionnement énergétique devrait soit intégrer les coûts externes dans le prix de l’énergie, soit tenir compte de contraintes fondées et réalistes ainsi que de normes en matière d’émissions et de déchets appropriées d’un point de vue environnemental et économique. Cette démarche doit rester prudente, de façon à ne pas mettre en péril notre position concurrentielle.

2.- Économies d’énergie et utilisation rationnelle de l’énergie

2.1 Il convient de faire un usage réfléchi et économe de l’énergie. Même en maintenant le niveau de confort souhaité, le recours à des technologies moins énergétivores peut donner lieu à des économies significatives d’énergie primaire.

2.2 L’utilisation rationnelle de l’énergie doit être stimulée dans tous les secteurs : grandes entreprises industrielles, PME, secteur des services et secteur résidentiel. Toutefois, l’application de nouvelles technologies à grande échelle demande un temps d’assimilation,  pénétration et diffusion. A court terme, il est illusoire de s’attendre à des «résultats miracles».

3.- Transport, mobilité et énergie

3.1 En raison de la demande croissante de mobilité, la réalisation d’économies d’énergie dans le secteur des transports est une tâche ardue. La clé réside sans doute dans une réorientation des options de mobilité, tant pour le transport de personnes que pour le transport de marchandises.

3.2 L’objectif ou même rêve ultime du secteur des transports est la voiture électrique fonctionnant à l’hydrogène. Il est certain que la réalisation de ce rêve demandera encore beaucoup d’efforts, et on ne peut garantir qu’il devienne un jour réalité.

4.- Énergie renouvelable et cogénération

4.1 Les énergies renouvelables et la cogénération sont susceptibles d’apporter une contribution intéressante et positive à l’approvisionnement énergétique. Ici encore, une analyse coûts-avantages permettra d’évaluer, en connaissance de causes, l’intérêt d’obligations de production électrique locale. Les deux pistes ont leurs mérites, mais leur introduction généralisée « à coups de slogans » conduit à un gaspillage de moyens.

4.2 L’énergie éolienne off-shore peut être utile, mais nécessite un processus d’apprentissage sérieux et une évaluation correcte des coûts.

5.-Sources d’énergie primaire et sécurité d’approvisionnement

5.1 Un approvisionnement énergétique fiable repose sur un éventail équilibré des sources primaires et notamment des divers combustibles. Il ne faut jamais mettre tous ses oeufs dans le même panier.

5.2 Le parlement dispose d’un droit formel d’intervention dans la composition du panier de combustibles disponibles. Toutefois, des choix purement politiques pourraient mettre en péril la stabilité de l’approvisionnement énergétique. Les associations d’ingénieurs sont d’avis que les conséquences de la sortie du nucléaire ont fait l’objet d’une évaluation insuffisante.

5.3 Il convient cependant d’éviter les interventions directes de la part des pouvoirs publics. Si ces derniers doivent poser les exigences en matière de sources d’énergie et de technologies énergétiques (p.ex. pour ce qui concerne leur respect de l’environnement et leur fiabilité), le marché doit disposer de la liberté nécessaire pour mettre en oeuvre ces exigences de façon efficace.

6.- Le marché libéralisé de l’électricité et du gaz

6.1 Sans règles claires et sans bon sens, le défi de la libéralisation des marchés de production et distribution de l’électricité et du gaz ne peut être relevé avec des chances raisonnables de succès. Le cadre libéralisé doit générer des incitants suffisants pour les investissements en capacité de production, en lignes de transport et en gazoducs. Sans cela, la libéralisation restera lettre morte et la sécurité d’approvisionnement sera menacée.

7.- Recherche et développement

7.1 La concrétisation de technologies de conversion efficaces nécessite des efforts ciblés de R&D. L’exclusion ‘a priori’ de certaines technologies est indéfendable; les priorités de la recherche doivent se fonder sur des analyses coûts-avantages prospectives (et globales). Une attention suffisante devra également aller à l’intégration des différentes composantes dans un système harmonieux.

7.2 Il faut procéder en Belgique à une étude globale, cohérente et complète des besoins et des sources d’énergie. Cette étude devra aborder les aspects tant non électriques qu’électriques ainsi que la libéralisation de tous les vecteurs énergétiques. Après vérification des résultats, cette étude pourra former la base de la politique énergétique future de la Belgique.

 

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SONDAGE

Les quatre associations d’ingénieurs, réunies dans le CIBIC (Comité des Ingénieurs Belges, Belgisch Ingenieurscomité) se considèrent comme des partenaires importants dans le large débat consacré à la problématique énergétique. En répondant à l’enquête présentée en annexe, vous aiderez à formuler le point de vue des ingénieurs en la matière de façon pertinente et nuancée. Vous contribuez ainsi à ce que, via un canal réellement représentatif, l’avis des ingénieurs soit pris en compte dans ce débat.

Etant donné l’importance de ce sujet pour la société, cette enquête est envoyée à tous les ingénieurs de Belgique dont les adresses sont disponibles via les universités, les hautes écoles et les associations de diplômés. Le CIBIC soutient pleinement cette initiative prise par la Koninklijke Vlaamse Ingenieursvereniging dans le cadre de son « Projet Energie – 75 ans KVIV ». L’enquête fait par ailleurs écho aux conclusions du troisième forum sur l’énergie qui a eu lieu le 16 décembre 2008. Ce Forum lancé par l’Institut Technologique asbl fut supporté en commun par les 4 associations belges d’ingénieurs KVIV, FABI, UFIIB et VIK, réunies au sein du CIBIC et bénéficia du soutien de la Fédération des Entreprises de Belgique FEB.

Cette enquête s’inscrit dans la vision globale des associations d’ingénieurs, dont un des objectifs est de souligner plus clairement le rôle de l’ingénieur dans la société. Votre participation nous aidera certainement à réaliser cet objectif.

Vous trouvez en annexe un résumé de la prise de position formulée par le professeur Dr. Ir. William D’haeszeleer sur  l’approvisionnement énergétique en Belgique. Nous vous demandons de lire ce mémorandum avant de répondre à l’enquête.

Vous pouvez ensuite démarrer l’enquête en cliquant sur le lien suivant ;  http://energyforum.icms.be.

Le paysage nucléaire européen

Au sein de l’union européenne, 16 pays sont nucléarisés sur 27. Il est à noter que les pays qui ont opté pour un retrait du nucléaire n’ont pas d’alternatives opérationnelles valables qui permettent un approvisionnement énergétique sûr et respectueux de l’environnement.

Certains pays ont adopté un programme de retrait du nucléaire pour ensuite le relancer. C’est le cas de la Suède qui, après avoir décidé de l’arrêt de deux réacteurs, a dû importer plusieurs milliards de kWh par an en provenance de centrales au charbon pour répondre à ses besoins. Les économies d’énergie anticipées et le recours aux énergies renouvelables ne suffisant pas à compenser le manque d’énergie. Récemment, l’Etat a prévu d’investir 180 millions d’euros dans la rénovation des autres réacteurs et plus d’un milliard d’euros sont prévus dans les 15 prochaines années pour prolonger la durée de vie à 60 ans. Aux Pays-Bas, après de multiples tentatives d’arrêt de leur unique réacteur, le pays a décidé de prolonger son exploitation jusqu’en 2033 pour un coût d’investissement de 43 millions d’euros. Une deuxième centrale nucléaire est considérée comme une option réaliste. En Allemagne, l’accord de 2002 entre le gouvernement et les électriciens allemands, autorise la production de 2600 milliards de kWh, ce qui devrait permettre à la plupart des centrales de fonctionner au-delà de 2020. L’Italie, quant à elle, ne possède plus de centrales nucléaires depuis 1990, et est un pays nettement importateur d’électricité. Elle envisage un éventuel retour au nucléaire.

D’autres ont optés pour un moratoire sur de nouvelles capacités. C’est le cas de l’Espagne qui prolonge de 20 années l’exploitation de ses réacteurs nucléaires et envisage l’option de nouvelles unités. De son côté, la Grande-Bretagne considère que l’énergie nucléaire fait partie intégrante de sa politique énergétique et le gouvernement envisage la construction de nouvelles centrales.

D’autres enfin, ont décidé de la construction de nouvelles centrales comme la Finlande qui s’est prononcée en 2002 en faveur d la construction d’une cinquième centrale nucléaire et la France qui a décidé de la construction d’un nouveau réacteur à Flamanville.

Déjà, 650 millions d’euros ont été contracté. Elle confirme ainsi son choix de l’énergie nucléaire des années 70 qui avait pour objectif l’accroissement de son indépendance énergétique : celle-ci est passée de 23 à 50% aujourd’hui.

Les deux derniers pays entrés dans l’Union soutiennent le nucléaire. Si la Bulgarie a fermé deux de ses quatre réacteurs actives, le gouvernement actuel a investi dans une nouvelle centrale qui sera opérationnelle en 2013.

La Roumanie, qui dispose d’un seul réacteur couvrant un dixième de sa production d’électricité, inaugurera son deuxième réacteur cette année.

Malgré des programmes de modernisation, des réacteurs de première génération seront progressivement mis hors service, c’est notamment le cas de la Lituanie qui verra la fermeture de ses deux seuls réacteurs et de la Slovaquie.

Hors Union Européenne, la Suisse, s’est prononcée en 2002 en faveur de l’exploitation de la centrale de Mülheberg et l’exploitation de plusieurs unités sera prolongée de 60 années.

Avantage carburant chez DATS

Cher membres,

L’UFIIB a négocié pour vous une réduction de prix  chez DATS (Colruyt)

Pour payer son essence moins cher, chaque membre peut bénéficier dès à présent de l’offre proposée par les stations-service DATS 24 de Colruyt.

Comment faire ?

–  Demandez le formulaire à l’UILg et inscrivez vous en le  transmettant à DATS24, Edingensesteenweg  196,  1500 Halle par la poste ou par email : dats24@dats24.be

–  vous recevez alors un contrat et un document de domiciliation que vous compléterez et enverrez à DATS 24. Après avoir traité votre demande, DATS vous enverra votre carte DATS 24 dans les 15 jours. Dès ce moment, vous pourrez profiter des tarifs préférentiels à la pompe.

DATS 24 offre du carburant de qualité à prix serrés. En payant avec la carte DATS 24, les membres du UFIIB profitent, lors de chaque passage à la pompe, d’une réduction de 1,30  cents par litre sur le prix à la pompe.  En d’autres mots, en tant que membre du UFIIB, vous payez toujours moins que le prix de la pompe.

Avantages

•  Il n’y a pas d’obligation d’achat, ni d’obligation d’achat minimum ;

•  La carte DATS 24 est gratuite ;

•  Vous pouvez utiliser cette carte dans toutes les stations DATS 24 ;

•  Vos passages à la pompe sont regroupés par mois et payés à la fin du mois. Cette opération a lieu par domiciliation bancaire ;

•  Sur simple demande, vous pouvez obtenir votre facture mensuelle, et ce gratuitement ;

•  Vous pouvez demander une deuxième carte DATS 24 au nom d’une personne vivant sous le même toit (votre partenaire, vos enfants).

Vous trouverez des stations DATS 24 à Bruxelles (Woluwé-Saint-Lambert, Uccle, Anderlecht, Evere), Amay, Anderlues, Ans, Ath, Boncelles, Braine-l’Alleud, Courcelles, Dour, Enghien, Eupen, Ghislenghien, Gilly, Gosselies, Grez-Doiceau, Herstal, Herve, Huy, Jemeppe-sur-Sambre, Liège, Loncin, Marbais, Marcinelle, Mons, Mouscron, Namur, Nivelles, Salzinnes, Seraing, Rochefort, Tournai et Wavre. Il y a également plus d’une vingtaine de stations-service en Flandre.

Plus d’infos sur www.dats24.be ou en téléphonant au 02 363 51 52.

Et si vous avez déjà une carte DATS 24 ?

Contactez le 02 363 51 52, mentionnez votre numéro d’affiliation et demandez à établir la conversion vers le tarif « UFIIB ». Vous pouvez continuer à utiliser votre ancienne carte ; à l’avenir on vous facturera d’office le tarif préférentiel.

Structure des associations d’ingénieurs belges

Votre association, l’UILg, est, comme toutes les associations d’ingénieurs industriels diplomés par les autres hautes écoles francophones, membre de l’UFIIB (l’Union Francophone des Ingénieurs Industriels de Belgique).

Cette Fédération a pour mission d’assister ses membres, c’est-à-dire les Ingénieurs industriels diplômés et ceux en devenir, ainsi que les Ingénieurs techniciens qui n’ont pas été assimilés au titre d’Ingénieur industriel.

L’UFIIB est aussi un des fondateurs du CIBIC, le Comité des Ingénieurs Belges ou Belgische Ingenieur Comite, qui représente l’ensemble des Ingénieurs belges, civils, du vivant et industriels aussi bien néerlandophones que francophones. Le CIBIC a pour mission de nous représenter au niveau international via la FEANI, la Fédération Européenne des Associations Nationales d’Ingénieurs.

structure des associations

Réseaux sociaux

Pour les branchés d’entre-vous, nous avons créé un groupe sur les 2 réseaux sociaux les plus populaires Facebook et LinkedIn
http://www.facebook.com/p.php?i=1177639170&k=Z6L5PYSRP6WM51EBXFW5Y3
http://www.linkedin.com/e/gis/86400/00348F70C299

Job day 2008

Le 4 février 2008, la Haute Ecole de la Province de Liège (catégories Technique et Agronomie) organise, avec le concours financier du Conseil des étudiants, la troisième édition du Job Day à l’attention des étudiants et étudiantes des deux dernières années.(et d’avant dernière année ?)

Depuis 2007, le Job Day est conçu comme un outil, un espace de rencontre entre ces étudiantes et étudiants, d’une part et, d’autre part, les entreprises et institutions à la recherche de talents.

Cet outil n’aura de sens qu’en fonction de l’usage qu’en feront ses acteurs : les étudiantes et étudiants, les professeurs et les entreprises.

Nous formons le vœu que chacun se l’approprie et lui donne vie.

Marianne Dawirs,  Directrice de la catégorie Agronomie

Toni Bastianelli, Directeur de la Catégorie Technique

Jacques De Caluwé, Directeur-Président

Voici la liste des participants aux éditions 2007 et 2008 du jobday :

  • Accenture Technology Solution
  • ADECO INTERIM
  • AFSCA
  • ARCELOR MITTAL
  • ARCHETYPE CONSULTING
  • AVEVE HOBBY VERT
  • BeABLE Sciences asbl
  • b.BIG asbl
  • BUSINESS & DECISION
  • CAMBREX BIOSCIENCE
  • CATERPILLAR BELGIUM
  • CECOTEPE
  • CFE
  • CMI
  • asbl DEFI
  • DEFIMEDIA
  • DOW CORNING
  • DYAX
  • ECOLE VIRTUELLE
  • ELECTRABEL Human Resources
  • Empulsys
  • Entreprise J. Delens
  • EUROGENTEC S.A.
  • Eventattitude
  • EVS
  • Fabricom – GTI Industrie Sud
  • FOREM-Verviers
  • GALEPHAR M/F
  • HEPL Relations Internationales
  • GSK
  • Hermes – ECS
  • IBM
  • ICARUS
  • IDEAL INTERIM
  • INBEV
  • IPES
  • JMV COLAS
  • KITRY Consulting
  • Laiterie de Walhorn
  • LEM INTERIM
  • METRUM sarl
  • NEOS
  • Nomacorc
  • NRB
  • ONE-D
  • PFS WEB
  • ORACLE
  • PN CONSULT
  • PRAYON S.A.
  • Direction judiciaire-Police Scientifique
  • PURATOS-BELDEM
  • Recherche HEPL
  • RETRIMEUSE scrl
  • SABCA
  • SD&AKKA
  • SEGI Ulg
  • SOCABELEC S.A.
  • STE-FORMATIONS (Ulg)
  • STERIA BENELUX
  • SYLIS Belgium
  • TECHNIFUTUR
  • TECHSPACE AERO
  • Thomas & Piron
  • TOTAL PETROCHIMICALS RESEARCH
  • UILg
  • UNIQUE
  • Ville de Liège-Adm. Communale
  • WAN
  • WUST S.A.

Comme chaque année, l’UILg sera présente et permettra aux étudiants de rencontrer des diplomés de l’ISIL bien intégrés dans la vie professionnelle.

Les membres désirant participer à cet évènement, soit à titre personnel, soit au nom de leur entreprise, sont invités à se manifester auprès de l’UILg.